Malheureusement pour William, sa blague fort élaborée et des plus hilarantes s'évanouit dans l'air stagnant et poussiéreux du commerce. "Olive vendeur" ne se trouvait pas derrière son comptoir, mais plutôt dans l'arrière boutique d'où émanaient les éclats de voix. En tendant l'oreille, le garçon put distinguer plus ou moins nettement les ordres d'un homme à ce qui semblait être une employée.
- Il faut trier les boîtes, ici, ici, et là, ensuite vous vous occuperez de ranger les nouvelles baguettes, puis de l'entretien de l'atelier. J'ai cru entendre un client, je reviens dans quelques instants Miss Lyssenko.
Quelques instants plus tard, parut un personnage de haute stature, aux cheveux blancs et à l'air affable. Il était vêtu richement, mais dans une mode qui paraissait tout à fait archaïque à des yeux modernes, mais qui séyait parfaitement à l'allure aussi traditionnelle que vieille, voire vétuste de la boutique qu'il tenait. Mr. Ollivander esquissa un sourire chaleureux en découvrant la mine enjouée qui illuminait la face juvénile de son nouveau client, et le salua très cordialement.
- Bonjour, jeune homme, et bienvenue chez Ollivander's. Veuillez m'excuser, j'espère ne pas vous avoir fait trop attendre, il y a... Du travail, là derrière, expliqua-t-il en pointant l'arrière boutique du doigt, où des montagnes entières de baguettes dans leurs étuis s'entassaient dans l'anarchie la plus totale. Vous êtes là pour une première baguette, je présume ?
- Il faut trier les boîtes, ici, ici, et là, ensuite vous vous occuperez de ranger les nouvelles baguettes, puis de l'entretien de l'atelier. J'ai cru entendre un client, je reviens dans quelques instants Miss Lyssenko.
Quelques instants plus tard, parut un personnage de haute stature, aux cheveux blancs et à l'air affable. Il était vêtu richement, mais dans une mode qui paraissait tout à fait archaïque à des yeux modernes, mais qui séyait parfaitement à l'allure aussi traditionnelle que vieille, voire vétuste de la boutique qu'il tenait. Mr. Ollivander esquissa un sourire chaleureux en découvrant la mine enjouée qui illuminait la face juvénile de son nouveau client, et le salua très cordialement.
- Bonjour, jeune homme, et bienvenue chez Ollivander's. Veuillez m'excuser, j'espère ne pas vous avoir fait trop attendre, il y a... Du travail, là derrière, expliqua-t-il en pointant l'arrière boutique du doigt, où des montagnes entières de baguettes dans leurs étuis s'entassaient dans l'anarchie la plus totale. Vous êtes là pour une première baguette, je présume ?