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Couloir qui mène jusqu'aux escaliers magiques.

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Meï Line
Hector Ivarson
Daniel Belnades
Margaret Roy
Horace Lockwood
Apolline Doucet
Sullivan Owen Barthelemy
Jessica Nott
Ellie Clarke Johnson
Elisabeth Greengrass
Maître du Jeu
15 participants

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Le livre s’envola percutant dangereusement le mur, celui-ci tomba alors sur le ventre, là ou se trouvaient il y a un instant les dents de la chose posaient contre le sol. 


Malheureusement pour elles les hurlement d’Elisabeth avait attiré des oreilles indiscrète elles entendirent des bruits de talons venir dans leur direction. 

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Elisabeth était encore un peu sonnée, une main posait sur son front, elle secouait la tête pour reprendre ses esprits. 

« _sacrée sort »

Ne put pas t’elle garder pour elle avant d’entendre les bruits de pas se répercuter entre les murs. Son coeur ne fit qu’un tour dans sa poitrine, fallait faire vite, faillait récupérer le livre. C’est a tâtons qu’elle essaya de l’attraper, ratant son coup à cause de son éblouissement, elle percuta violemment le sol en un bruit sourd. 

« _Aie »

Commenta t’elle dans sa chute en se frottant le menton. 

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La petite Ellie viendra agiter légèrement sa baguette tout en se rapprochant du livre et en soupirant longuement... Des gens arrivé, en même temps Beth a gueuler tellement fort que le contraire aurait était étonnant.

Nox !

La lumière s'éteignit, et elle rangea sa baguette dans sa poche pour s'agenouiller devant le livre et le refermer tout en le ramassant : ce pauvre bouquin a même pas réussi a vaincre une petite fille. Elle croisera donc ses bras et attendra la possible arriver d'un préfet ou d'un professeur, elle remettra bien entendu l'attache dorée, et viendra tendre sa main droite a Beth.

Eh beh, t'es pas très adroite !

Dira t'elle en tirant la langue.

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"_J'avais pas vu le sol"

Dit elle en se frottant les cheveux, acceptant bien sur l'aide d'Ellie pour pouvoir se relever. Elles entendaient tout deux les pas se rapprocher, Beth regarder rapidement Ellie, visiblement pas très rassurée, s'attendant surement à se faire disputer.

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Jessica Nott, une magnifique jeune femme, aux grands yeux bleus apparu au détour des couloirs, elle regarda les deux jeunes filles l'une après l'autre avant de dire, de sa voix mélodieuse.

"_C'est vous mesdemoiselles qui faisaient autant de raffut ? je vous ai entendu crier !"

Son regard s'attardera sur le livre que tenait Ellie dans ses bras.

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La jeune Serpentard se tourne alors vivement en direction de Jessica Nott puis elle viens de racler la gorge tout en se mettant en avant pour dire d'une voix plutôt calme et sincère venant planter son regard dans celui de la professeur.

Oui, c'est ma faute, j'ai trouvé un livre maudit et je l'ai ouvert : s'il vous plaît n'engueuler pas mon ami, si vous devez fouetter quelqu'un c'est moi.

Elle parlait en connaissance de cause, les cris des enfant battu résonnant tout les jours dans les dortois des Serpentard : suite a cela elle lui tendra le livre d'une manière récalcitrante :

Je voulais percer ses mystères, et je le veut toujours mais vous êtes un professeur et de ce que j'ai vu jusqu'ici, vous allez nous en empêcher et je tiens juste a vous dire que ça me fait mal.

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Elle se mit devant ellie avant de regarder la professeur la suppliant du regarda avant de lui dire. 

"_Non j'étais complice, je le mérite aussi, car je ne lui ai pas dit de le donner ou autre, professeur je vous en pris ne nous envoyer pas la bas, on voulait juste voir ce qu'il y avait dedans mais je pense que maintenant c'est mieux que vous le récupériez."

Elle regarda la jeune femme en se tortillant espérant qu'elle ne les punisse pas.

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"_Je vois, elle avancera alors sa main pour prendre le livre, Vous allez devoir me le donner pour que j'en perce les secrets vous êtes trop jeune et c'est trop dangereux pour vous, ou est ce que vous l'avez trouver ? Je ne vais pas vous envoyer au cachot avec Pollius"

Elle soupira, regardant les deux fillettes une puis l'autres, elle se revoyait en elle, plus jeune. Elle aussi, elle aurait été jusqu'à voler pour pouvoir assouvir sa curiosité et son envie d'apprendre et de connaitre, ce n'était pas pour rien qu'elle avait fini a Serdaigle pour au final en devenir la directrice.

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La petite Ellie inspira longuement : sa stratégie n'avait pas fonctionner et la Directrice de Serdaigle ne semblait pas prête a partager les savoir de ce livre : elle voulait se les accaparer pour elle même.
C'est alors que cacher par Beth elle ira empoigner sa baguette tout en disant d'un ton sincèrement tristounet et amicale :


Je l'ai volée... J'avoue, c'est pas la faute de Beth, elle dis ça pour me défendre et la aussi ce sera pas sa faute. Je l'ai volé a la réserve de Fleury & Bott, et c'est justement parce que je l'ai volé et que tout ça c'est ma faute qu'il m'en reviens de m'en débarrasser ! Moi aussi je veut savoir ce qu'il y a dedans ! 

Puis en disant cela, elle viendra levé sa baguette et dire avec la plus grande volonté :

Lumos !

Elle voulait l'aveugler pour s'enfuir comme une dératé.

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Elle ne s’attendait pas à ça, pas à devoir courir pour sa vie en tout cas, ellie venait d’éblouir la directrice de Serdaigle la maintenant. Si elle n’avait pas l’habitude de se faire éblouir par les sortilèges de sa comparse, elle serait dans le même état que Jessica à se moment. 

« _pour… »

Elle n’eut pas le temps de finir  et se mit à courir après son ami, en secouant la tête. 

dans quoi je me suis encore embarquée mon dieu? 

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Jessica ne l’avait pas vu venir et dans tout les sens du terme, déjà elle ne pouvait plus rien voir, elle avait été aveugler avec tellement de facilité qu’elle en était pour le moins surprise et admirative, visiblement ces gamines étaient plus interessantes que ce qu’elle le pensait. Elle mit quelques minutes à reprendre ses esprits avant de sortir sa baguette et d’avancer, elle partira à la recherche des deux fillettes visiblement légèrement agassée. 

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Sullivan prendra le escaliers pour aller jusqu'au rez-de-chaussée. Visiblement il ne s'était toujours pas fait au fait qu'ils bougent, s'agrippant de toutes ses forces par peur de tomber.

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Ce matin, comme chaque matin, Apolline s’est réveillée en sueur, la rage au ventre. Un ventre qui, chaque nuit, la fait encore souffrir, d’une douleur fantomatique qui prend racine là où la balle d’un fusil s’était logée après avoir traversé sa peau fragile. Encore allongée sur son lit, haletante, elle passe ses doigts là où s’était trouvée la blessure, alors qu’elle s’imagine sans peine l’intérieur de son corps en lambeaux et que lui revient le souvenir tenace de la sensation de ses organes déchirés par le projectile. Les images atroces qui hantent ses cauchemars lui restent même après son réveil et obsèdent ses pensées. 

L’arrière du crâne de Justin Page, explosé et sanguinolent, alors qu’il se tenait encore debout. Les sorciers abattus, les uns après les autres, gisants et mourants, piétinés par ceux qui allaient connaître le même sort. Tous ces cadavres agglutinés pesant sur son corps, leurs visages figés dans une expression de souffrance juste à côté du sien. Leur sang chaud et poisseux qui coulait sur elle jusqu’à ce qu’elle baigne littéralement dedans. Et pour faire écho à ces visions d’horreur, celle de sa mère battue à mort noyée dans une flaque vermillon, celle du crâne de Sullivan démoli par les coups de pierre répétés. Et aux images s’associent les sons, ceux des cris dans lesquels elle entend la peur et l’agonie, et qui résonnent sans arrêt dans son esprit troublé.

Elle devrait se sentir horrifiée, et pourtant il n’en est rien. Bien qu’elle ressente un certain dégoût à la pensée de ces corps mutilés, celui-ci se mêle à une curieuse fascination morbide qu’elle ne comprend pas, bien qu’elle en soit consciente. Sans qu’elle ne s’en soit rendue compte, cet événement l’a, comme les autres, traumatisée, mais d’une bien sordide manière. La destruction des corps, leur fragilité, la façon dont le sang s’en échappe, dont la chair se déchire et les os se brisent l’obsèdent. La facilité avec laquelle on peut mourir, et celle avec laquelle on peut tuer, deux faits qu’elle n’ignorait pas, mais dont elle n’avait jamais été aussi consciente jusque lors, maintenant que la mort ne semble plus avoir le moindre secret pour elle. Elle-même avait bien failli perdre la vie, si Michael n’était pas venu à son secours. 

Une fois plus ou moins remise de sa nuit mouvementée, elle se redresse sur son lit, alors que ses pensées vont au Jaune. Après l’attentat, elle était restée quelques jours chez lui, dans l’espoir de lui apporter son soutien. Le pauvre était réellement abattu, profondément touché par les événements, et notamment la mort de Justin Page, exécuté sous ses yeux. Mais pour lui, Apolline n’avait rien pu faire. Non, car elle était bien incapable de partager sa souffrance. C’est en le voyant ainsi qu’elle s’était rendue compte que sa propre tristesse n’était que factice : elle était loin de se sentir aussi affectée que lui. Rien à faire : que ce soit Justin Page, Davies, McGonagall, ou encore tous ces innocents morts, elle ne parvient pas à les pleurer. Lors de la cérémonie dans la Grande Salle, malgré l’atmosphère endeuillée, elle ne s’était pas sentie attristée. Tout ce qu’elle ressent désormais, c’est un sentiment de révolte, une haine profonde et redoublée, plus seulement envers les hommes, mais aussi pour ses anciens semblables, les moldus. 

Dans son coeur corrompu, il ne reste malheureusement plus assez de place pour la tristesse et la compassion. Elle peine à ressentir quoi que ce soit d’autre qu’une colère immense, si bien qu’elle en vient à se demander qui dans ce monde elle ne déteste pas. Si elle est encore capable d’aimer quoi que ce soit. Michael, l’apprécie-t-elle vraiment ? N’est-elle pas attachée à lui simplement parce qu’elle se sent redevable après tout ce qu’il a fait pour elle ? Et même, cette soi-disant dette qu’elle a envers lui, n’est-ce pas qu’une excuse pour légitimer le fait qu’elle l’instrumentalise comme un vulgaire outil ? C’est en tout cas ce qu’elle commence fermement à croire. Comme toujours, Apolline doute, de qui elle est, de ce qu’elle veut, de ce qu’elle ressent. Et comme toujours, elle cesse de se poser des questions pour s’accrocher à la seule certitude qu’elle ait jamais eu : la haine qui l’habite.

Debout face à son miroir, Apolline se maudit, une fois n’est pas coutume. D’avoir été si faible lors de l’attentat, de s’être laissée bousculer et marcher dessus comme un vulgaire déchet, ballottée comme une poupée de chiffons. Elle s’observe avec dépit : les années passent, et pourtant, elle paraît toujours aussi chétive et fragile. Complexée par sa taille, par son corps, en fait son physique en général, elle cherche désespérément un moyen de paraître plus grande, plus imposante ; plus adulte. Elle s’empare d’une trousse de maquillage qu’elle a, disons, empruntée dans une chambre voisine, et se tartine maladroitement le visage d’un maquillage qui n’est pas sans rappeler celui, outrancier, que portait sa mère pour faire le tapin. Elle fait le choix de couleurs sombres, qui pour elle paraissent intimidantes, cercle ses yeux d’un noir profond pour avoir l’air menaçant.

Alors que, la main tremblante, elle trace sur le bord de sa paupière un trait de crayon noir, elle se le met accidentellement dans l’oeil. Elle crache un juron, alors qu’une larme gorgée de maquillage noireâtre vient couler le long de sa joue. En voyant ceci, elle se questionne : à quand remonte la dernière fois où elle a pleuré ? Assez loin pour qu’elle ne s’en souvienne pas. Et finalement, elle s’en félicite. A ses yeux, être à ce point insensible, c’est une preuve de force. Une étape de plus franchie dans sa quête vengeresse. Elle n’a pas de pires souvenirs que toutes ces fois où elle s’est laissée aller au désespoir et à la crise de nerfs, de terribles moments de faiblesse qu’elle ne cesse de regretter. Que tout ceci soit de l’histoire ancienne ne peut être qu’une bonne nouvelle.

Une fois son petit exercice de peinture terminé, elle se regarde dans le miroir, satisfaite. Il lui semble qu’elle paraît plus vieille, plus adulte. Et assurément plus effrayante. Elle n’en a pas conscience, mais nombreux sont ceux qui la trouveront tout simplement vulgaire, voire terriblement ridicule. Mais du moment qu’elle paraît - encore - moins commode ( comme si son attitude hargneuse ne suffisait pas), cela lui convient très bien. Après s’être occupée de ses cheveux avec soin, elle sort enfin de la chambre.

Dans les couloirs, elle marche fièrement en direction de la bibliothèque, pavane presque, fière de s’exhiber de la sorte, persuadée d’en imposer grave. Du haut de sa petite taille, elle cherche à regarder les autres de haut, et particulièrement les plus jeunes auxquels elle veut et devrait se sentir supérieure, quand bien même les plus grands d’entre eux la dépassent. Quand certains garçons la regardent mal, elle leur répond d’un sourire mauvais. Ils l’ignorent, mais intérieurement, elle se les figure mutilés, massacrés et mourants. Elle s’imagine parfois les tuer de ses propres mains, comme elle a assassiné Sullivan, et cela lui procure un étrange sentiment de bien-être. Tout simplement parce qu’elle sait que ce serait possible, qu’elle en serait capable, que ces visions n’ont rien d’un bête fantasme mais davantage un aperçu du sort qu’elle pourrait bien leur réserver, s’ils lui cherchaient querelle.

Car ce qu’ils ne savent pas non plus, c’est qu’elle a déjà tué. Deux fois. Et même trois, si Sullivan compte pour deux. Alors oui, elle en serait bien capable. Une fois rentrée de chez Michael, à la Maison des Incurables, elle avait eu une revanche à prendre sur l’infâme mégère qui avait pris la direction des lieux. Il s’avère que la vieille femme suivait de lourds traitements médicamenteux, au dosage très strict. Il ne fallut pas longtemps après le retour d’Apolline pour qu’elle décède d’un malencontreux surdosage. Heureusement pour la jeune fille, elle était loin d’être la seule à souhaiter la disparition de l’affreuse directrice. Si bien que personne n’avait pleuré sa mort, ni cherché à savoir si cette erreur fatale n’avait rien d’un accident. Un meurtre dont elle est terriblement fière : en se salissant une fois de plus les mains, en faisant le mal, elle était parvenue à faire le bien. Les enfants et le personnel que la mégère avait maltraités quotidiennement étaient tous soulagés d’en être enfin débarrassés.

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Horace gambade ici après avoir passé un p'tit moment à la bibliothèque. Il s'est révélé pour Horace que cette dernière était plus intéressante qu'elle ne lui paraissait auparavant.

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Sur un escalier tournant vers Horace, une chapardeuse glisse sur la rambarde, jouant avec la mort et le vertige. Elle paraît s'éclater devant le regard indigné des tableaux.


Atten...TIOOON !

Trop tard, impossible de freiner, elle atterrit comme un boulet de canon sur le pauvre Poufsouffle qui passait par ici.

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Le jaune a tout juste le temps de tourner sa tête pour voir la jeune verte avant l'impact. En un battement de cil il se retrouve au sol, endolori de deux côtés, celui où l'impact avec la Serpentard a eu lieu et celui qui s'est pris le sol en pierre de plein fouet. Après cet événement, il ne lui reste plus qu'à gémir de douleur.

- Aïe... Ça fait mal... Grimace-t-il.

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Pas au mieux non plus, Margaret se relève, complétement endolorie. Elle se tient les côtes.

Non mais qu'est ce que tu fais en plein milieu du trajet toi aussi !

Vociféra t elle, complétement inconsciente de la véracité de la situation.

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Horace, toujours au sol, aurait froncé les sourcils si il ne les fronçait pas déjà de douleur. Il pose sur la voyou qui lui a foncé dessus.

- Ne t'a-t-on... Iii... jamais dit de ne pas... Il soupire de douleur. courir dans les couloirs ??

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Non mais !

Margaret pose son index sur le nez d'Horace, comme un signe d'énervement fatal.

Je ne courais pas andouille ! Je glissais sur les rambardes ! C'est un moyen de locomotion efficace et ludique ! Toi tu ne regardais pas la circulation !

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Argh... Que le prince des enchanteurs lui vienne en aide... Il se relève et s'époussette la robe.

- T'es pas croyable comme fille, toi ! Lui dit-il dans une lueur d'agacement rare chez lui.

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Margaret parut d'un coup presque ravie, du moins taquine. Elle n'avait plus vraiment mal, alors d'un sourire qu'elle tenta ravageur elle répondit en ricanant.

C'est vrai que je suis incroyable. Allez, sans rancune. 

Elle tendit la main.

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- Tu devrais faire plus attention.

Le jaune hausse un sourcil en voyant la main tendue. Puis il se dit à peu près "bon bah ok" avant de tendre sa main à son tour pour empoigner celle de la fripouille verte.

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Margaret sourit, il était trop tard, Horace pouvait déjà comprendre, elle esquiva sa main avec agilité et tapota de nouveau le bout du nez du Poufsouffle. 
Fière, elle ajouta à son geste, telle une bretteuse qui fit mouche.

Et toi être toujours sur tes gardes !
Tu éviteras peut être des filles pas croyables qui glissent sur les rambardes !

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Le visage du jaune fait une grimace lorsque la fripouille verte tapote le bout de son nez. C'est la petite sottise de trop pour le Poufsouffle qui contourne la verte pour se diriger vers les escaliers magiques.

- J'ai du travail, moi. Prétexte-t-il. Tu devrais te trouver une occupation plus constructive. Réplique-t-il enfin, visiblement agacé.

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Une voix narquoise s'élève alors, provenant d'un coin d'escalier :

"Un vrai petit couple. Trop mignon."

Il ship.

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