Le flanc de la colline en question était loin d'être une simple colline, il était parsemé de nombreux buissons et arbres ce qui permit à Emily d'en trouver un où s'abriter sans la moindre difficulté. Cependant, il était évident qu'elle avait déjà été repérée, après tout, la végétation était loin d'être assez denses pour leur offrir une protection complète .Et puis, vraisemblablement ils étaient même attendu comme la venue des deux autochtones tendait à l'indiquer. Jasper et Michael, non sans crainte, continuèrent eux à avancer sur le buissonnant parterre émeraude jusqu'à se rapprocher des deux individus.
La plus grande s'avança d'un pas vers eux leur octroyant aux élèves une chance de détailler son visage et à Michael de répondre à quelques-unes de ses interrogations. Devant-eux se tenait un homme d’âge mûr qui de sa posture droite et dignifiée planta immédiatement un regard incisif dans leur yeux les transperçant ainsi de toute part. L’homme de grande taille à travers ses sourcils broussailleux sembla les jauger silencieusement de tout son poids alors-même que les deux élèves cherchaient en eux la force de déclencher l’impulsion qui allait leur permettre d’atteindre effectivement le sommet de la colline. Du reste, si l’homme resta parfaitement immobile, caressant parfois sa barbe hirsute, sans montrer le moindre signe d’agressivité la pression que son regard avait exercé sur eux, elle, elle persista tout du long.
Néanmoins, des deux, il se faisait le moins intriguant tant l'accoutrement de son, ou sa comparse se faisait des plus déroutants. Une fois qu’ils purent se permettre de détacher le regard de l’adulte en face d’eux, voilà que devant les deux jeunes hommes se trouvait, ce qui passait pour, un enfant pas plus haut que l'un des nombreuses premières années auxquels Michael eu affaire tout au long de cette première année dans sa fonction de préfet. Affublé d’un épais voile noire parfaitement opaque, il était impossible d’avoir le moindre aperçu de l’être qui se cachait derrière le vêtements. Une longue et épaisse robe d’un sombre bleu marin, simple, à l’inverse du costume sobre mais raffiné de son compagnon recouvrait son corps et la majeure partie de ses bras. Ce qui restait d’encore visible, ses jambes comme ses bras étaient eux couverts de gants et d’un bas noir appuyant à nouveau le mot d’ordre qui avait guidé la conception de cet étrange accoutrement.
-Bienvenue, il me paraît bien plus raisonnable que vos amis se joignent à vous, je ne tiens pas à me répéter outremesure. Et. Je crois bien que vous me devez quelques explications.
Alors que son comparse se murait dans son silence, reconnaissant à peine la présence des enfants, voilà que l’homme fit part de ses exigences d’un ton qui s’il était dénué d’hostilité se fit si aride et brûlant qu’il étouffa sur place l’avalanche de question que les deux jeunes auraient souhaités lui poser.
La plus grande s'avança d'un pas vers eux leur octroyant aux élèves une chance de détailler son visage et à Michael de répondre à quelques-unes de ses interrogations. Devant-eux se tenait un homme d’âge mûr qui de sa posture droite et dignifiée planta immédiatement un regard incisif dans leur yeux les transperçant ainsi de toute part. L’homme de grande taille à travers ses sourcils broussailleux sembla les jauger silencieusement de tout son poids alors-même que les deux élèves cherchaient en eux la force de déclencher l’impulsion qui allait leur permettre d’atteindre effectivement le sommet de la colline. Du reste, si l’homme resta parfaitement immobile, caressant parfois sa barbe hirsute, sans montrer le moindre signe d’agressivité la pression que son regard avait exercé sur eux, elle, elle persista tout du long.
Néanmoins, des deux, il se faisait le moins intriguant tant l'accoutrement de son, ou sa comparse se faisait des plus déroutants. Une fois qu’ils purent se permettre de détacher le regard de l’adulte en face d’eux, voilà que devant les deux jeunes hommes se trouvait, ce qui passait pour, un enfant pas plus haut que l'un des nombreuses premières années auxquels Michael eu affaire tout au long de cette première année dans sa fonction de préfet. Affublé d’un épais voile noire parfaitement opaque, il était impossible d’avoir le moindre aperçu de l’être qui se cachait derrière le vêtements. Une longue et épaisse robe d’un sombre bleu marin, simple, à l’inverse du costume sobre mais raffiné de son compagnon recouvrait son corps et la majeure partie de ses bras. Ce qui restait d’encore visible, ses jambes comme ses bras étaient eux couverts de gants et d’un bas noir appuyant à nouveau le mot d’ordre qui avait guidé la conception de cet étrange accoutrement.
-Bienvenue, il me paraît bien plus raisonnable que vos amis se joignent à vous, je ne tiens pas à me répéter outremesure. Et. Je crois bien que vous me devez quelques explications.
Alors que son comparse se murait dans son silence, reconnaissant à peine la présence des enfants, voilà que l’homme fit part de ses exigences d’un ton qui s’il était dénué d’hostilité se fit si aride et brûlant qu’il étouffa sur place l’avalanche de question que les deux jeunes auraient souhaités lui poser.