Margaret observa tour à tour chaque personne défiler, elle commençait à redouter son tour.
D'abord Morgane, cette Serdaigle -à qui elle n'avait que peu adressée la parole- eut une sorte d'horrible gobelin, ce n'était pas ce qu'il y avait de plus terrifiant, mais sa camarade avait l'air d'en avoir la phobie. Horace qui passa juste après vit un incendie, la chapardeuse compris alors qu'il avait sans doute dû faire face à un dans sa vie.
Plus tard c'est Michael qui passa, elle fut assez curieuse de connaître ses peurs... Par simple curiosité, il fallait dire qu'il y avait un plaisir malsain à connaître chaque phobie. Elle reconnut ce qu'on nomme nazi, doublé d'un cadavre, cette vision la fit frissonner. Margaret se demanda alors le lien avec son passé, avait-il connu l'horreur de cette guerre ?
Elle eut peut être le plus grand frisson pour la vision de Charles, sortit tout droit des abysses des plus sombres mythes, elle reconnut en Charles un courage certain de prononcer le moindre mot face à cette chose.
Puis l'enseignante demanda le suivant.
Elle ne pouvait se permettre de passer en dernière, d'être une couarde, surtout avec Mme.Greengrass.
La chapardeuse déglutit, sentit son pouls s'accélérer ainsi que son estomac se tordre.
Volontaire, elle avança d'un pas.
Elle savait, oui, maintenant c'était limpide.
C'était cela, il ne pouvait en être autrement, à peine l'épouvantard prit une forme humanoïde qu'elle anticipa. Personne ne devait voir ça, pas maintenant, même jamais. Des sortes de tentacules sortaient de toute part de l'homme qui s'avançait dans la pénombre.
Riddikulus !
Scanda-t-elle sans même attendre la fin.
Seulement, alors que la forme redevint une boule noire, Margaret sentit qu'elle n'en avait pas finit.
Tout cela n'avait été qu'illusion, sa réelle peur, la chose qui hante sa vie, allait se présenter. Tel un réveil dans un cauchemar, la chapardeuse plongea dans son inconscience la plus sombre.
C'est une forme plus gracieuse, assise sur une chaise, une tasse en main, qui apparue.
Féminine, Margaret en plus grande, elle arborait un sourire des plus sardonique.
Démunie, la chapardeuse pointa sa baguette fébrilement vers la forme de sa peur, de sa haine.
Des larmes lui montèrent, bloquant sa vision.
R...Ri...
La femme se leva gracieusement de sa chaise puis s'approcha de Margaret, à pas lents.
Narquoise, elle paraissait l'humilier d'un simple regard.
D... lus...
Des tentacules firent irruption dans son dos et lui attrapa les bras.
N-non !
L'épouvantard avait l'emprise, c'était finit, Margaret ne savait plus faire la part entre le rêve et la réalité. Il n'était pas physique et pourtant elle avait l'impression d'être paralysée par les lianes qui entouraient ses bras.
Lucy s'approcha, félinement, délicatement, ses yeux jaunirent peu à peu, ses pupilles s'allongèrent en cône, son sourire dévoilait peu à peu des dents tranchantes alors que ses cheveux bruns devenaient de plus en plus noir de jais.
RIDDIKULUS !!!!!!
Hurla Margaret, prise d'une conscience soudaine, elle ne voulait pas voir ça, elle ne voulait plus le voir.
RIDDIKULUS !!!
RIDDIKULUS !!!
Elle fermait les yeux, tout était finit, mais elle ne le savait pas. Genoux à terre, aveugle à la scène, c'était dorénavant un simple chat qui se tenait devant, glissant sur du carrelage en boucle.
Riddikulus... Riddikulus...
D'abord Morgane, cette Serdaigle -à qui elle n'avait que peu adressée la parole- eut une sorte d'horrible gobelin, ce n'était pas ce qu'il y avait de plus terrifiant, mais sa camarade avait l'air d'en avoir la phobie. Horace qui passa juste après vit un incendie, la chapardeuse compris alors qu'il avait sans doute dû faire face à un dans sa vie.
Plus tard c'est Michael qui passa, elle fut assez curieuse de connaître ses peurs... Par simple curiosité, il fallait dire qu'il y avait un plaisir malsain à connaître chaque phobie. Elle reconnut ce qu'on nomme nazi, doublé d'un cadavre, cette vision la fit frissonner. Margaret se demanda alors le lien avec son passé, avait-il connu l'horreur de cette guerre ?
Elle eut peut être le plus grand frisson pour la vision de Charles, sortit tout droit des abysses des plus sombres mythes, elle reconnut en Charles un courage certain de prononcer le moindre mot face à cette chose.
Puis l'enseignante demanda le suivant.
Elle ne pouvait se permettre de passer en dernière, d'être une couarde, surtout avec Mme.Greengrass.
La chapardeuse déglutit, sentit son pouls s'accélérer ainsi que son estomac se tordre.
Volontaire, elle avança d'un pas.
Elle savait, oui, maintenant c'était limpide.
C'était cela, il ne pouvait en être autrement, à peine l'épouvantard prit une forme humanoïde qu'elle anticipa. Personne ne devait voir ça, pas maintenant, même jamais. Des sortes de tentacules sortaient de toute part de l'homme qui s'avançait dans la pénombre.
Riddikulus !
Scanda-t-elle sans même attendre la fin.
Seulement, alors que la forme redevint une boule noire, Margaret sentit qu'elle n'en avait pas finit.
Tout cela n'avait été qu'illusion, sa réelle peur, la chose qui hante sa vie, allait se présenter. Tel un réveil dans un cauchemar, la chapardeuse plongea dans son inconscience la plus sombre.
C'est une forme plus gracieuse, assise sur une chaise, une tasse en main, qui apparue.
Féminine, Margaret en plus grande, elle arborait un sourire des plus sardonique.
Démunie, la chapardeuse pointa sa baguette fébrilement vers la forme de sa peur, de sa haine.
Des larmes lui montèrent, bloquant sa vision.
R...Ri...
La femme se leva gracieusement de sa chaise puis s'approcha de Margaret, à pas lents.
Narquoise, elle paraissait l'humilier d'un simple regard.
D... lus...
Des tentacules firent irruption dans son dos et lui attrapa les bras.
N-non !
L'épouvantard avait l'emprise, c'était finit, Margaret ne savait plus faire la part entre le rêve et la réalité. Il n'était pas physique et pourtant elle avait l'impression d'être paralysée par les lianes qui entouraient ses bras.
Lucy s'approcha, félinement, délicatement, ses yeux jaunirent peu à peu, ses pupilles s'allongèrent en cône, son sourire dévoilait peu à peu des dents tranchantes alors que ses cheveux bruns devenaient de plus en plus noir de jais.
RIDDIKULUS !!!!!!
Hurla Margaret, prise d'une conscience soudaine, elle ne voulait pas voir ça, elle ne voulait plus le voir.
RIDDIKULUS !!!
RIDDIKULUS !!!
Elle fermait les yeux, tout était finit, mais elle ne le savait pas. Genoux à terre, aveugle à la scène, c'était dorénavant un simple chat qui se tenait devant, glissant sur du carrelage en boucle.
Riddikulus... Riddikulus...