Troisième salle salle de Jane Sulline

Les quatres Erklings étaient maintenant face à la verse l'assaillant de plusieurs cotés .. Malgré le protego de Michael et les esquives de cette dernière elle subit de profonde entailles dans le brans gauche .. 

Michael ne parvint pas à entravé une créature mais la bleu et la jaune réussirent à s'en défaire non s'en mal .. 

Il restait maintenant 4 créature proche d'Apolline ...

Elles avaient réussi à se débarrasser de leur Erkings, il en manquait seulement 4 qui s'approchait dangereusement d'Apolline. Beth incanta un protego sur la fillette, et un locomotor mortis sur l'un des 4 restants. 
Elle se mit également devant Morgane, n'ayant pas besoin qu'elle se sacrifie pour elle. 

"T'inquiète pas ça va aller, maintenant sauvons Apolline, c'est elle qui en a le plus besoin pour le moment."

Si son bras dominant est blessé, soit, elle frappera du droit. Elle s'efforce d'esquiver et tente une riposte.

Les quatre Erkling se jetèrent donc sur la verte, l'un fut stoppé immédiatement dans sa course par un magnifique Locomotor Mortis d'Elisabeth, un second par un Fulgari magnifiquement bien incanté de Michael seulement .. 

Malgré les esquives et le Protégo lancé sur la verte cette dernière continue de foncé tête baissée sur les créature, elle planta son pic dans la jambe d'une créature mais son deuxième bras fut lacéré par la même occasion .. La fillette commençait à perdre du sang de façon assé dangereuse, après sa seconde blessure elle fut projetée parle deuxième Erkling encore debout  ... 

Morgane quand à elle incanta un sortilège de faible puissance qui fut esquivé par l'Erkling blessé ..

"Non merde..."

Sa voix se transforma, de la peur à la colère, Apolline a été touchée et plutôt gravement, il fallait en finir et ça le plus vite possible avant qu'elle ne se vide de son sang. Heureusement, il ne manquait plus que 2 créatures, juste deux sorts pour pouvoir porter secours à sa camarade, elle se concentrera alors sur celle que Mike ne visa pas avant d'incanter un locomotor mortis, puis un protego Uno sur elle même, fallait mieux ça, que rien du tout une nouveau blessé grave ne ferait que desservir le groupe. 

Bête humaine à la rage animale, Apolline hurle de douleur avant de se redresser et de repartir à l'assaut avec la férocité meurtrière d'une lionne blessée. Soit elle ignore le danger, soit elle le méprise. Peut-être, sans en avoir conscience, attend-elle la mort, la pense délivrance, une façon d'échapper à sa souffrance. Son attitude, suicidaire, auto-destructrice, se fait l'expression de sa résignation inavouée : si elle est incapable de détruire ce monde qu'elle hait tant, peut-être parviendra-t-elle à mettre fin au sien.

Grace une nouvelle fois aux effort combiné des deux élèves de Poufsouffle les dernière créature furent entravées, il y avait donc sept Erkling sous l'emprise de sortilèges et un Erkling mort ... Au fond de la pièce se dévoila une porte cependant cette dernière resta fermée pour le moment .. 

Les créature hurlèrent à gorge déployé et gigotaient dans tout les sens ..

Apolline s'agenouille auprès d'une créature entravée, empoigne son pic des deux mains, et d'un coup sec vient l'enfoncer dans son abdomen à plusieurs reprises, encore, encore et encore, elle vient massacrer la chair et broyer les intestins, secouée de frissons extatiques à chaque hurlement de l'Erkling qui se meurt lentement. Son visage, d'abord furieux et déformé par une rage sonore, se mue lentement en un masque souriant et silencieux envoûté par le son du pic pénétrant les organes, muscles et tissus.

Beth posa ses grands yeux bleutés sur ces étranges créatures, que faire, les laisser là ? Avec une possibilité qu’ils arrivent à se libérer au bout d’un moment et qu’ils essayent de les tuer une nouvelle fois ? Ou fallait il les achever. Elle secoua la tête ne comprenant pas pourquoi elle penser à ça, pourquoi elle était prête à commettre l’irréparable. 

« On fait…quoi d’eux…? »

Demanda t’elle avant de s’avancer vers Apolline, baguette à la main pour incanter un episkey sur sa blessure, elle cherchera également sa feuille de dictame bien qu’elle imaginait que la jeune fille allait la refuser en bloc. 


Alors qu’elle allait s’agenouiller vers elle, elle vu ce qu’elle était entrain de faire, elle se releva alors détournant la tête, sa rester des créatures vivantes, malgré qu’elle ne semblait pas si toucher que ça par leur sort, juste la vu de la destruction lui était insupportable. 

La porte resta complètement close ... 

Apolline bien qu'alimentée par une rage et une soif de sang sans fin perdait beaucoup de sang et à se rythme la son corps ne tiendrais pas longtemps ... 

Le premier Erkling touché par un Fulgari de Michael se libéra et fonça vers Morgane ...

« Faut soigner Apolline elle perd trop de sang, elle n’acceptera pas que je lui donne du dictame, mais toi, elle acceptera surement Mike… »

Elle pointa sa baguette alors qu’elle entendit un des Erkling bouger, en se retournant elle le vit courir vers Morgane prêt à lui sauter dessus. Beth incantera alors un protégo et un locomotor mortis pour protéger son amie. 

Elle ne se rend même pas compte de son état, pourtant ses bras fatiguent et sa vue se brouille. Ses visions sanglantes s'assombrissent alors qu'elle défaille lentement malgré le tonique. Elle finit par laisser ses bras retomber, de même que sa tête, dans un état de transe amorphe.

L'Erkling surgissant vers Morgane fût tuer sur le coup cependant, celui qu'elle tenait auparavant en joue se libéra et malgré le protego d'Elisabeth le créature griffa violemment et en profondeur la gorge de la bleu ..  

Juste après son attaque il se rua sur Morgane qui de pars sa blessure venait de tombée au sol ... 

Apolline laissa le jeune soigné ses blessure avec quelques bandages de fortune .. Les autres Erklings se débattaient farouchement et il ne restait surement que quelques minutes avant que d'autres ne se libèrent ...

Vidée de son sang, épuisée par son déchaînement de violence, Apolline demeure accroupie, le regard vide. L'illusion d'énergie donnée par le tonique s'est dissipée, et la jeune fille a puisé dans ses ultimes ressources avant d'en subir le contrecoup de manière abrupte. D'un air absent, elle observe sans émotion le cadavre du monstre à ses pieds, sans réaction les Erklings restants qui se débattent, et sans rien pouvoir y faire la pauvre Morgane en train d'agoniser.

Morgane eut à peine le temps de se réjouir de son coup réussi sur l'Erkling qu'un autre Erkling, celui qu'elle tenait en joue un peu plus tôt, se jeta sur elle. Tout ce qu'elle vit fut son bras et sa main pleine de griffe s'approcher de sa gorge, puis une douleur fulgurante. Elle était à terre, occultant tout ce qui se passait autour d'elle. Bientôt, elle entendra Michael s'agenouiller à ses côtés en hurlant son nom, et bien qu'elle avait beaucoup de différents avec le jaune, elle était heureuse de le voir, au moins, pensa-t-elle, elle ne mourrait pas seule ... Elle tenta tout de même de parler, mais tout ce qui sortit de sa bouche furent des bruits gutturaux étouffés. Etait-ce la fin de la bleue ? Sa vie, ses ambitions, ses rêves, tout ce qui faisait d'elle la personne qu'elle était, tout ça était-il sur le point de flétrir et de s'éteindre ? Elle ferma ses yeux, mais rien ne se passa. Elle n'avait pas imaginé sa mort de cette façon, à 13 ans, dans une vieille maison, dans un coin reculé, avec Apolline, Michael, Beth et un groupe d'Erklings pour seule compagnie. Certains disent que lorsque l'on voit la mort de près, toute notre vie défile devant nos yeux, nos amours, nos regrets, mais Morgane ... Elle ne voyait rien ... Rien d'autre que la pièce sombre dans laquelle elle se trouvait. Elle avait beau fermer les yeux, rien ne lui apparaissait, pas d'êtres chers si ce n'est ses parents, Beth et Ginger. Des regrets, elle en avait, mais c'est alors qu'elle se rendait compte à quel point sa vie était misérable, à quel point elle avait rendu sa vie misérable. Elle ne comptait pas, elle n'était pas importante dans le grand schéma de la vie, l'Univers ne cesserait pas de s'agrandir, le Soleil de briller ou la Terre de tourner après sa mort. Elle sentit les feuilles de dictame et fit un effort colossal pour les mâcher, mais à ce point, plus rien n'importait ... Morte, vivante, ça ne changeait plus rien pour la Serdaigle ... Elle était lasse de lutter, lasse de vivre. Elle tourna légèrement la tête, tentant de croiser le regard de Beth pour ce qui pourrait bien être la dernière fois, si elle avait la possibilité de choisir ce qu'elle verrait en dernier dans sa vie, ce serait les yeux bleus étincelants de son amie. Elle essaiera ensuite à nouveau de parler, le dictame aidant un peu, paroles qui étaient destinées à Michael.

- J-j-e s-suis ... d-dés-ol-ée ....

Elisabeth entendit un bruit sourd de gorge arraché, de sang giclant sur les murs et le sols. C'était arrivée, l'un d'eux avait fini par être blessé plus gravement qu'elle l'aurait pensé. Elle n'osait pas regarder, pas se retourner, elle avait peur de trouver l'un de ses camarade mort, inerte sur le sol. Son coeur se mit à battre, une voix s'éleva de ce silence sans fin, celle de Michael, un hurlement, un nom, Morgane. A ce moment là, elle voulu se précipiter à ses côtés, elle se retourna même vers elle, surprenant son regard, presque voilé, son visage, elle entendit sa faible voix, il y avait tellement de sang par terre, par tout. Sa voix se brisa alors qu'elle prononça son nom, le Erking était juste devant alors que Michael l'avait rejointe, il était prêt à l'abattre, à porter le coup finale. 


Puis le noir complet, le vide, elle s'entendit Hurler un mot, "waddiwasi", le geste elle l'oublia ne pouvant pas faire face à la triste vérité. Dans la réalité elle semblait dans un état second s'emparant du pic à chignon d'Apolline à côté d'elle pour l'envoyer sur l'Erking, pas dans l'espoir de le blesser mais de le tuer, Beth n'était plus la même, elle sentait la rage au plus profond d'elle, elle avait changé, la mort de son majordome l'avait changé, les épreuves l'avaient changé. 
Elle ne se souviendra de rien, ni de cette acte barbare, ni de sa voix, d'outre tombe lorsqu'elle se tourna vers les autres Erking qui essayait de se dépaitre de cordes et de leur paralysie. Il fallait les mettre hors d'état de nuire, les tuer pour passer, pour sur qu'elle ne se souviendrait de rien, son esprit ayant tout occulter mais à ce moment là, Beth n'avait plus rien d'humain, rien à voir avec la douce jeune fille qu'elle était avant de rentrer dans cette maison de malheur. 

"defodio"