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descriptionAppartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire) EmptyAppartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire)

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L'appartement est au dernier étage d'un bâtiment situé dans un quartier assez ouvrier. Étant donné qu'Halifax est une ville industrielle, la plupart des moldus du quartier travaillent dans les usines manufacturières avoisinantes. Le bâtiment ne se démarque pas par son style architectural mais elle possède une toute autre particularité, assez inhabituelle dans le monde moldu. En effet, le bâtiment est majoritairement habité par une communauté de sorciers qui se fondent dans la société moldue. On peut considérer que c'est un bâtiment semi-magique à l'instar des villages semi-magiques qu'on peut voir ailleurs en Grande-Bretagne.


Bâtiment où se trouve l'appartement

Appartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire) 0QKzedW




Une rue d'Halifax

Appartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire) E1sluL7




Emplacement d'Halifax (Yorkshire de l'Ouest) en Grande-Bretagne

Appartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire) QwqrzN1

descriptionAppartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire) EmptyRe: Appartement de Mme Smith, Halifax (Yorkshire)

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Telle son amie fantôme, Horace était planté à sa fenêtre, regardant l'extérieur d'un regard vide. La rue qui s'offrait à sa vision grouillait de vie, elle était animée, certains riaient, certains se disputaient, d'autres ne faisaient que passer. Ces gens là étaient probablement tous des moldus, les mêmes qui ont perpétré l'attaque meurtrière à la coupe du monde de Quidditch, les mêmes qui ont fait exploser la tribune Nord, décimant des familles entières et tuant des professeurs vénérés de Poudlard. Les moldus qu'il regardait étaient-ils responsables de tout ça ? Le jaune n'avait ni l'énergie ni l'envie de réfléchir à la question. En ce moment, le jaune n'avait envie de rien.

Bien qu'étant complètement propre et portant des vêtements tout aussi propres, Horace ressent encore les éclaboussures de sang sur son visage, ses vêtements trempés de sa sueur et les sillons de larme séchés sur ses joues. Il ressent encore l'oppression de la foule affolée. Il voit encore cette lumière vive et macabre surgir de sous la tribune Nord et souffler des milliers de vies en un battement de cil. Il entend aussi les cris des hommes, des femmes et des enfants qui se mélangent et les geignements de ceux qui ont eu le malheur de trébucher dans le mouvement de panique ou d'être touché par une bille de la mort, souvent les deux.

Ce fut pour lui trop de choses à vivre d'un coup. Ces événements passaient continuellement dans son esprit, il ne pouvait s'en défaire. Il avait besoin de vider son sac. Alors il décide de faire une chose qu'il n'a pas l'habitude de faire ; se confier. Horace s'assoit à son bureau, prend un parchemin, sa plume et son encrier avec l'objectif de rédiger une lettre. Cette lettre, il l'adresse à une personne de confiance, son cousin, Ferbert Lockwood. Le jeune rescapé trempe fébrilement le bout de sa plume dans l'encre, ensuite il place la plume au dessus de son parchemin. Horace hésite, il cherche ses mots, laissant même tomber une goutte d'encre sur le parchemin. Enfin, il entame la rédaction de sa lettre.

« Cher Ferb, ... »
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